"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

jeudi 8 octobre 2009

Tambouille sur le blog de "Bihorel avec vous". Epilogue

Panoplie de Rigolo (oeuvre contemporaine)

Mes Chers Compatriotes,

Tout d’abord, pour celles et ceux qui n’auraient pas eu le temps de lire l’original du billet « A ceux qui se gaussent » publié dimanche 4 octobre 2009 sur le blog de "Bihorel avec Vous", je mets en pied de cet article la version initiale du billet (capture d’écran) avant que Monsieur Avisse ne l’ait modifiée ainsi que l’image vers laquelle nous dirigeait le lien situé en pied du même billet. Je vous invite également à lire avant ce qui suit, l’article paru ici même «Tambouille sur le blog de Bihorel avec Vous » (1) et (2). Vous aurez ainsi tous les éléments. Ceci étant précisé, passons à ce qui nous occupe.

Comme moi, je pense que vous n’aurez pas cru un seul instant à la fable que Monsieur Avisse nous a contée le 6 octobre (voir article précédent sur ce blog). Je crois qu’une fois leur supercherie découverte, cette fable fut le seul moyen qu’ils aient trouvé pour tenter de se sortir les fesses des ronces.
J’en veux pour preuve deux éléments :
1) Monsieur Avisse nous dit « N’ayant pas d’exemplaire du bulletin sous la main, je n’ai trouvé sur internet que la une de la dernière édition. » Avant de mettre en ligne le billet, n’aurait-il pas été plus simple à Monsieur Avisse de demander à l’auteur du billet, l’original de l’article du bulletin de l'Agglomération de Rouen, qu’il avait forcément en sa possession, puisqu’il l’avait contrefait et détourné ?
2) Deuxième élément, « Sur le contenu du billet, je reconnais que la tournure de phrase est ambiguë, je la corrige » nous indique Monsieur Avisse. Soit à "Bihorel avec Vous", on a la comprenette un peu lente, car le billet original était très clair. Certes c’était un tissu de mensonges mais en aucune façon il n’était ambigu ! Soit sur le blog de "Bihorel avec Vous", on peut publier tout et n’importe quoi, mêmes les bidonnages car rien n’est vérifié.

Ma conviction est toute autre.
« A ceux qui se gaussent » se voulait être la réponse et le « démenti flagrant » de mon article intitulé « Je vous ai compris », publié sur mon blog le 24 septembre dernier. Mon article visiblement ne leur a pas plu. Il rappelait sur un ton « chambreur » les engagements datant de fin juin que B. Pétel avait pris devant Xavier (un habitant du plateau des Provinces) et devant nous tous, sur le sujet du transit des poids lourds dans Bihorel. Engagements restés à ce jour sans suite.
Les politiciens de quelque bord que ce soit, n’aiment pas qu’on leur rappelle leurs promesses lorsqu’ils ne les ont pas tenues. Alors il fallait répondre à « Je vous ai compris ». Pas simple, surtout quand on a rien à dire de nouveau sur le sujet.
Un camarade, dans l’arrière boutique (vous avez votre réponse M. Duval) s’y est collé. Avec peu de talent, tant dans le style que dans la manière, la forme ou le fond. On détourne, on truque, on contrefait, on falsifie un article et des citations que, bien sûr, on ne produit pas à l’appui.
La ficelle était trop grosse même si l’on dit souvent que « plus c’est gros mieux ça passe ». Mais là, elle était énorme avec en apothéose le coup du « Préfet ébranlé » par Benoît Pétel. Là, le ridicule était à son apex. Franchement, si le préfet lit cela en buvant un coup, il risque de s’étouffer avec les cacahuètes en pouffant de rire.
Bref, on publie tout ceci un dimanche soir. Cela non plus n’est pas innocent, car bien que daté du mardi, le bulletin change d’édition le lundi (système du Monde). Le camarade auteur se dit que le Constantin ne doit pas être du genre lecteur assidu du Bulletin et que lundi, il ne trouvera plus en kiosque le numéro d’où sont tirés l’article et les citations que l’on a détournées. Avec son QI de bulot, le camarade auteur pense que cela devrait passer. Le bidonnage est publié mais pas de bol, le pot aux roses, dès le lundi, est découvert puis dénoncé par votre serviteur et nous en arrivons à la fable contée par Monsieur Avisse.

Qui est le camarade auteur de « A ceux qui se gaussent »? Certainement pas Monsieur Avisse lui même. Lorsque l’on sait apprécier un Clos de Bèze 59, c’est que l’on est un être raffiné, or ce bidonnage est l’œuvre d’un gros lourdaud. Benoît Pétel ? Pas plus, son style d’écriture n’est pas celui d’un besogneux. Enfin Fred Duval est trop bon scénariste pour avoir commis pareil nanard.
Non, il faut chercher ailleurs, mais pas trop loin tout de même. Peut être entre deux dictionnaires. Chacun mettra le nom qu’il voudra, même si nous serons nombreux à avoir la même idée.

« A ceux qui se gaussent » n’est donc pas signé. A ce moment, j’en profite pour faire une mise au point. Je fais un distinguo entre le fait de ne pas signer ses billets et celui de les signer d’un pseudo que l’on conserve dans le temps. Ainsi peut on faire référence à tous les écrits que j’ai produits sous le nom de Constantin Dragasès et ce depuis début 2008. Le camarade auteur de « A ceux qui se gaussent » en n’assumant pas son billet de quelque manière que ce soit, a le courage de ceux qui se mêlent à la foule pour s’en servir de bouclier.
Si Benoit Pétel n’est pas l’auteur, a-t-il pour autant donné son imprimatur? Accordons lui le bénéfice du doute. Mais cela ne l’exonère pas, lui et le Président de l’association Bihorel avec vous (F.Duval) de faire le ménage dans leurs troupes et de veiller à ce qu à l’avenir, ce genre de tambouille ne soit plus cuisinée dans leur arrière boutique. A une époque où des pratiques glauques sont mises à jour au PS, cela éviterait de discréditer définitivement dans le débat politique bihorellais, une association dont 98% des adhérents sont certainement de bons samaritains. D’ailleurs, il serait de bon ton que comme pénitence, le camarade auteur de « A ceux qui se gaussent » se fasse oublier un bon moment et évite de pérorer dans le Bihorel réel ou virtuel lors des mois à venir.

Enfin n’oublions pas le point de départ de tout cela et ce qui reste bien évidemment le plus important. Qu’a donc fait Benoît Pétel depuis juin pour répondre aux problèmes de Xavier, tenir les engagements qu’il a pris devant nous tous et quelles actions spectaculaires compte-t-il entreprendre puisque rien n’a changé ?

Benoit, puisque le « démenti flagrant » a fait « PSchitt », aurons nous encore à nous gausser?

C.D
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