"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

mercredi 31 août 2011

SCANDALE: Fusion, Jean Claude Ravenel et 3 élus d'opposition éliminés du nouveau Conseil Municipal


Sans transition, mes Chers Compatriotes, ainsi pourrait-on dire, car voilà Août à peine terminé, que la forfaiture se poursuit et même s’amplifie. Non seulement les félons de BVAB ont voté la fusion contre l'avis de la population, fusion validée par le Préfet, mais aujourd'hui, il apparaît que 4 élus d'opposition seraient écartés du nouveau conseil municipal dans lequel Bihorel n'aura que 25 conseillers (ils sont 29 aujourd'hui), contre 33 pour Bois Guillaume qui voit l'ensemble de ses conseillers maintenus. Un dispositif que cet hypocrite de Freluquet ne pouvait ignorer et dont, bien sûr, il n'a soufflé mot !

Le premier effet de cette fusion est un véritable scandale. Ainsi sont écartés du nouveau conseil municipal par un savant calcul, Jean Claude Ravenel avec trois autres élus d'opposition (dont je ne connais pas à cette heure les noms). Déjà spoliés de leur commune par des voyous, c'est maintenant toute une partie de la population bihorellaise qui ne sera plus représentée dans le nouveau conseil municipal. 

Est-ce cela, aujourd'hui, la République Française et la démocratie du même nom ?
Nous reviendrons sur ce scandale, dès que nous aurons de plus amples informations.

Manu ad ferum
CD

mardi 23 août 2011

dimanche 21 août 2011

Carte Postale (7) : la Pompe à Phynance


Mes Chers Compatriotes, si comme pour moi, il vous est agréable de vous coucher moins bête que vous  vous levâtes, alors je ne saurais que trop vous conseiller la lecture de l'article que Frédéric Lordon a consacré à la crise financière que nous vivons depuis trois ans, article bien loin de l'enfumage médiatique organisé par Sarkozy et Delors.

" Le commencement de la fin
jeudi 11 août 2011, par Frédéric Lordon

 Pareilles aux images aériennes du front de tsunami avançant inexorablement vers une côte japonaise dont le sort est scellé, le déploiement de la crise financière depuis trois ans donne une impression d’irrésistible fatalité, avec en prime cette sorte d’incrédulité un peu stupide de dirigeants qui croient encore pouvoir tout sauver quand tout est déjà compromis. Un choc de la magnitude de la crise dite « des subprimes », crise dont on ne redira jamais assez qu’elle a été celle de la finance privée, était voué à produire, via le canal du crédit, une récession dont les conséquences sur les finances publiques s’annonçaient désastreuses."


la suite ici:  http://blog.mondediplo.net/2011-08-11-Le-commencement-de-la-fin

Bonne lecture, je retourne sous mon palmier
CD