"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

vendredi 18 novembre 2011

Lundi 21 novembre, 20h30 à la mairie, DERNIER conseil municipal de la commune libre de BIHOREL


Tous à la mairie !

Goudron et plumes à volonté.

8 commentaires:

  1. Belle image, les rails à 21 places doivent bien se trouver.
    Le véhicule est un peu inconfortable surtout pour les Messieurs, mais le vêtement est chaud et douillet.
    Jeff

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  2. La mairie a encore piraté le panneau JC Decaux sur la place de l'église pour annoncer le conseil municipal !!! Que fait le commissaire Juve ?

    Fantomas

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  3. La police municipale est avec nous, car elle a compris que pour les réductions d'effectifs annoncées par Renard, cela ce passerait comme pour les conseillers municipaux.Les Bois Guillaumais resteront et les Bihorellais seront virés.

    Merci pour votre affichage, vous êtes un excellent communiquant.
    CD

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  4. Raymond la Science20 novembre 2011 à 20:46

    En cette veille de dernier conseil municipal bihorellais, une inquiétante rumeur est arrivée jusqu'à moi... Maurice ne serait pas là demain soir car retenu en Vendée par la cueillette des tomates géantes qui poussent dans les arbres dont il nous a si bien parlé lors du dernier conseil.

    Maurice !!! Viens nous faire rire encore une fois à Bihorel car j'ai bien peur que cela sera la dernière...

    Raymond

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  5. Pas de goudron ni de plumes hier soir salle des mariages pour ce conseil municipal de Bihorel « ville » mais des gens fatigués par ces mois de lutte, ces semaines passées à tenter de résister au rouleau compresseur de l’argent. Houbron incohérent lorsqu’il répond à Ravenel sur le financement des stèles du parc de l’Argilière, Houbron, de plus en plus agressif, au bord de l’explosion menaçant d’évacuer lui-même la salle hilare devant sa pitoyable et régulière prestation. Fatigués et écœuré les deux élus de BAV à qui ont a supprimé le mandat d’un coup de ciseau magique à mi-parcours et qui ont quitté symboliquement le conseil sous les applaudissements (du public) après avoir signifié à Houbron et sa majorité - une fois de plus, mais il n’y en aura jamais assez - dans quel sorte de déni de démocratie ils avaient inscrit durablement leurs noms. Mais peu importe que le conseil se soit terminé ainsi, peu importe la prise de conscience tardive de certaines personnes de la majorité, le principal intéressé devait déjà savourer sa victoire. Les mots de ce vieil anar de G. Darien me sont venus en tête, je ne sais pas pourquoi : « je fais un sale métier, mais j’ai une excuse : je le fais salement »
    FD

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  6. Merci pour ce compte rendu, je n'étais pas disponible pour venir voir ces félons.
    Edgar de Tamoles

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  7. Paris Normandie:
    Un projet avorté

    Publié le lundi 21 novembre 2011 à 08H00

    BIHOREL. Le promoteur immobilier de la Villa San Marco renonce à construire de nouveaux logements.
    La Villa San Marco devait remplacer l'actuelle propriété « Clairbois »

    La villa Clairbois ne sera finalement pas détruite. Du moins pas dans l'immédiat. Cette habitation, construite dans les années 1920, rue Sainte-Venise à Bihorel, devait céder la place à un ensemble comprenant 20 logements, baptisé « Villa San Marco ». Mais le promoteur immobilier Fonta (Toulouse), qui avait obtenu le permis de construire en juillet, vient de faire savoir que le projet ne verrait pas le jour. Des recours intentés contre la démolition de la maison Clairbois par des riverains avaient été rejetés, laissant la voie libre au promoteur.

    Opération annulée
    Deux bâtiments de deux étages, surmontés d'un toit en zinc, abritant des logements allant du T1 au T4 en accession à la propriété, étaient prévus sur une parcelle d'environ 3.000 m2. Les changements à venir, concernant la fiscalité des investisseurs immobiliers, pourraient être à l'origine de l'abandon du projet. Le dispositif « Scellier » doit en effet disparaître à la fin de l'année 2012, laissant peu de visibilité aux investisseurs potentiels. « L'opération est annulée, nous avons retiré le permis de construire », commente laconiquement, le promoteur que nous avons joint au téléphone.
    Depuis l'adoption en 2009 du plan local d'urbanisme (PLU) permettant de telles constructions, aucun bâtiment d'importance n'a pour l'instant vu le jour dans la commune. Place de l'église, la résidence Azurelle, qui doit se substituer à la maison Bombard, n'a pas encore commencé à sortir de terre. Des cases commerciales à vocation médicale étaient au départ prévues au rez-de-chaussée des deux bâtiments.

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  8. Paris Normandie du jour:
    Bihorel : l'opposition quitte la salle lors du conseil municipal

    Publié le mercredi 23 novembre 2011 à 08H00

    BIHOREL.Un conseil municipal tendu à un peu plus d'un mois de la fusion avec Bois-Guillaume.
    Benoît Pétel, Claude Taleb, Martine Laconde et Guillaume Avisse quittent la réunion du conseil municipal

    Séance à nouveau animée pour le conseil municipal de Bihorel, qui s'est réuni lundi soir. Sans doute pour l'avant-dernière réunion sous sa forme actuelle, avant la fusion de Bihorel et Bois-Guillaume au 1er janvier prochain.

    « Un déni de démocratie »
    Alors que certains criaient notamment « menteur » à l'adresse du maire et que des chants provenaient de l'assistance, Pascal Houbron a même menacé à un moment de faire évacuer la salle, déclarant : « Je n'ai de leçon à recevoir de personne ».
    Un peu plus tôt, l'élue d'opposition Firouze Djoubri-Michel, qui, comme trois autres conseillers, ne fera bientôt plus partie de l'exécutif suite à la décision du préfet, a dénoncé un « déni de démocratie » sur la question de la fusion. « Je ne siégerai pas plus longtemps », a déclaré l'élue qui a ensuite quitté la salle. Elle a été imitée quelques instants plus tard par son collègue Guillaume Avisse. « Je m'étais engagé en politique pour me frotter à la réalité, j'ai été témoin de beaucoup de médiocrité », a-t-il ainsi expliqué. Les deux benjamins de l'assemblée ont été suivis par Benoît Pétel, Claude Taleb et Martine Laconde, soit la totalité de l'opposition socialiste et écologiste présente.
    Une question principale était à l'ordre du jour. Elle concerne la garantie apportée par la Ville à l'emprunt contracté par le bailleur social Dialoge auprès de la Caisse des dépôts et consignations, pour le remplacement de 354 garde-corps sur les immeubles du Plateau des Provinces. Pour ce chantier qui doit débuter bientôt, Dialoge a besoin de 26.3000 euros. Si le bailleur ne remboursait pas son prêt, la commune devrait alors le faire à sa place.

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