"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

mercredi 28 décembre 2011

Bihorel va nous manquer.



Mes Chers Compatriotes,

Triste année que 2011 pour Bihorel, pour les démocrates, pour la république et pour les défenseurs des libertés fondamentales. Triste enfin pour tous les maires batisseurs de notre commune, d'Alfred Caron à Jean Fréret.
La fusion s'est faite dans la honte et le déshonneur. La cicatrice est profonde et ne se refermera pas de sitôt. L'histoire jugera et punira les responsables de cette trahison. 

Bihorel va nous manquer, alors en guise "d'au revoir" à notre commune, écoutons Gabriel Fauré.


Vive Bihorel libre !
CD

samedi 24 décembre 2011

Noël

Howa Ali, Mogadiscio 2011

Mon âme est abattue au-dedans de moi, aussi je pense à toi. Psaume 42, 7

mercredi 21 décembre 2011

Les 55 dernières minutes.

Plusieurs décisions insignifiantes furent adoptées (notre photo) par les BVAB, ponctuées de bêlements ironiques entonnés par les Bihorellais, une manière de montrer leur estime à la majorité municipale.

55 petites minutes, les dernières ! C’est ce qu’aura duré l'ultime conseil municipal de la ville de Bihorel. Un conseil triste et morne. Comme d’autres présents ce soir là, j’attendais un dernier soubresaut, une courte rémission juste avant la fin, qui aurait pu prendre la forme d’un discours de sortie d’un élu avec du panache. Mais rien de tout cela, on s’ennuya ferme du début à la fin. Les quelques Bihorellais présents semblaient être là, comme l’on assiste à une mise en bière. On regarde le mort avec résignation même si l'on n’y croit pas encore.
Les autres dans le public (je n'appelle plus les freluquistes « Bihorellais », ils se sont déchus, eux-mêmes, de cette qualité) arboraient l’air des imbéciles béats devant leurs idoles. Les niais ont toujours été fascinés par les crapules. Ainsi, étaient-ils une petite dizaine, occupant le premier rang, formant un imaginaire rempart entre les voyous élus de la majorité municipale et les Bihorellais fiers de l’être. 
Pascal Houbron tenta de conclure dans le brouhaha, cette dernière séance en évoquant, sans rire, sa confiance en la démocratie. Bizarre comme les plus beaux des concepts, énoncés par certaine bouche, en sortent salis.

Bois Guillaume - Bihorel, Hôtel du Parc
Mes chers Compatriotes, à l’Hôtel de Ville, rebaptisé dans la commune nouvelle "Hôtel du Parc", en souvenir d'un "glorieux" épisode de l'histoire de France, les élus collabos de BVAB s'affaireront pendant les fêtes, afin que tout soit prêt pour l'arrivée de l'occupant Bois Guillaumais dès le 1er janvier 2012. Pour accueillir le nouveau maire, ils répéteraient même l'adaptation d'un chant venant des années 40:  " Renard, nous voilà !".


Vive Bihorel Libre !
CD

mercredi 7 décembre 2011

Bihorel: une commune bananière.

Information sur le panneau de la mairie, complétée par des promeneurs (copyright M. Coruble)

Pas sûr que le Bihorel dirigé par Pascal Houbron soit le meilleur endroit pour une campagne d'affichage, encourageant les citoyens à s'inscrire sur les listes électorales et à faire preuve de civisme. C'est même en cette fin d'année, le plus mauvais exemple que l'on puisse choisir dans toute la république française.
En 2011, le freluquet et ses berniques nous ont montré que l'on pouvait très bien se passer de l'avis des électeurs, s'assoir sur le résultat d'un référendum et, d'une oukase, éliminer ses opposants élus au suffrage universel. Il suffit pour cela d'avoir la complicité du législateur, du représentant de la république et une grosse dose de mépris pour les Bihorellaises et les Bihorellais.

Avec "Bien Vivre à Bihorel", nous sommes plus proches de la Russie de Poutine que de la démocratie athénienne. Pour vous en convaincre, relisez avec attention le texte "un beau projet devient réalité" rédigé par l'écrivain en bâtiment de la majorité municipale en dernière page du Bihorel Mag. Dans ce texte, il nous explique que ceux qui se sont opposés à la fusion, n'ont pas leur place dans le nouveau conseil municipal. Avec Pascal Houbron, la démocratie, c'est simple comme un coup de fil au Préfet.
Minoritaires dans les urnes avec seulement un tiers des suffrages ayant approuvé leur projet de fusion, les BVAB n'en constitueront pas moins dans la nouvelle commune, plus de 80% de la représentation bihorellaise (21 sur 25 sièges). Une nouvelle commune qui se fera donc sans les deux tiers des Bihorellais. Normal, ceux-ci étaient contre la fusion, alors ils n'y auront pas leur place. Une logique freluquienne qui fait de Bihorel une commune bananière. Triste fin !

Mes chers Compatriotes, que celles et ceux d'entre vous qui ne sont pas encore inscrits sur les listes électorales, courent le faire toutes affaires cessantes. Le bulletin de vote reste encore notre plus sûr moyen de donner au freluquet, lors des prochaines élections, ce qu'il mérite : une bonne raclée...Électorale, bien évidemment !

Vive Bihorel libre !
CD


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jeudi 1 décembre 2011

La presse confirme: la chienlit, c'est bien lui !


Article paru dans le Bulletin de l’arrondissement de Rouen, relatant le dernier conseil municipal (en date) à Bihorel, que je vous invite à lire (cliquez ci dessus) ou à vous procurer chez votre libraire préféré. 
Article beaucoup plus fidèle au déroulement de cette soirée que chez les fayots de Paris Normandie.

Manu ad ferum, Vive Bihorel Libre !
CD