"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

mardi 17 janvier 2012

Anschluss de Bihorel par Bois Guillaume

Voleurs de Commune

Deuxième conseil municipal illégitime du Bois Guillaume élargi, 
jeudi 19 janvier à 18H30mn, espace Guillaume le Conquérant


Vive Bihorel Libre !
CD

16 commentaires:

  1. Dans le Bulletin de ce jour en page 16.
    Titre de la page: /Bois-Guillaume/. Le bulletin aurait-il déjà anticipé sur l'effacement probable à terme de "Bihorel" du nom de la commune nouvelle?
    Dans l'article "Vœux du Maire", propos du gauleiter de Bihorel sur la fusion:
    -"Nous eûmes le droit d'être mis au piquet, d'être insultés et outragés pour nous décourager, mais nous avons tenu bon et ce comportement nous a motivés plus encore à faire bouger les lignes. etc..."
    Je vous invite à lire attentivement ces propos et à ensuite prendre votre Petit Larousse à la rubrique "Schizophrénie":
    "Psychose délirante chronique caractérisée par un autisme, une dissociation, un délire paranoïde, et générant une perturbation du rapport au monde extérieur."
    Gilbert fait gaffe!
    Francis Lagneau.

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  2. "La mythomanie se définit par une tendance pathologique à avoir recours aux mensonges sans même en avoir conscience.
    Le mythomane ne se rend pas compte qu’il ment, incapable de faire la différence entre le fruit de son imagination et la réalité.
    la mythomanie peut également être symptômatique de désordres psychiatriques plus ou moins graves comme la psychose ou encore la névrose."

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  3. jean pierres ferres19 janvier 2012 à 23:39

    J'assistais il y a quelques minutes à la seconde session du Conseil municipal de notre nouvelle commune BOIS-GUILLAUME-BIHOREL. Grande satisfaction pour moi de voir naître et se constituer sous mes yeux la réalisation d'un projet que j'avais soutenu avec toute la force de mes convictions pendant plus de deux années.
    A la fin de la séance, le maire, selon un usage en pratique dans l'ancienne municipalité, a donné la parole aux membres du public qui auraient souhaité lui poser des questions. Un opposant à la fusion s'est alors empressé de se lancer dans un implacable réquisitoire destiné à jeter l'opprobre sur l'action des deux maires.
    J'aurais voulu répondre à ces propos iniques, mais constatant que le site de "Bihorel avec vous" était en veilleuse depuis des mois, j'ai eu la curiosité de me reporter sur celui de "Constantin Dragasès" qui n'est jamais à court de vilenies.
    Le compte rendu nauséabond par CD de la première séance du nouveau Conseil municipal m'a rappelé le ton de ce qu'a été la campagne de dénigrement menée par l'opposition, une campagne de haine, marquée par la volonté de salir un homme, de le rabaisser, de l'humilier par tous les moyens et de se réjouir à la pensée qu'il puisse en souffrir.
    Cette attitude inqualifiable, déshonore aujourd'hui ceux qui s'en rendent coupables et, je l'espère, les discréditera pour longtemps aux yeux de nos concitoyens.

    Jean-pierre Ferrès

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  4. "J'aurais voulu répondre à ces propos iniques"...Encore un qui n'a pas eu le courage de répondre en face. Vraiment courageux les conseillers municipaux qui ont vendu leur ville...

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  5. Lire J. P. Ferrès, c’est comme écouter « Radio Paris » en 1940. Le mensonge dans les discours y est toujours débité au kilomètre.

    « L’intellectuel » de la bande se drape selon une formule éculée par les BVAB dans la victimisation et se métamorphose en Mère Theresa au secours du Freluquet.

    Pascal Houbron s’est sali et rabaissé tout seul comme un grand, en passant par-dessus bord les principes de base de la démocratie et en bazardant la commune de Bihorel afin d’assouvir son arrivisme. L’Humiliation, la seule, la vraie, c’est l’Histoire qui lui infligera.

    Quant à J.P.Ferrès, il peut venir ici quand bon lui semble, gloser et se gausser mais sa gnose ne fera pas oublier qu’il n’est plus aujourd’hui, comme tous ses complices, qu’un vulgaire voleur de commune,
    CD

    ps: j'encourage l'opposant à la fusion mis en cause par JP Ferrès à venir mettre le texte de son discours à la teneur "inique" en ligne sur ce blog dans les commentaires. Ainsi, mes chers Compatriotes, vous pourrez juger sur pièce, des deux, quel est le menteur.

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  6. Je ne saurais résister plus longtemps à cet appel vibrant : voici donc le texte intégral et non retouché de mes propos "iniques et mensongers" prononcés hier soir en clôture du Conseil municipal.
    Aîe, petit problème, j'ai été trop bavard, ce blog n'accepte pas plus de 4096 caractères, on fait comment Constantin ?

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  7. M. Ferrès

    Au prochain conseil, faites donc surveiller l'entrée par un physionomiste qui sera capable de trier le bon grain de l'ivraie ! Interdisez donc l'entrée aux opposants qui vous dérangent ! J'ironise, mais les actions de vos amis ces derniers mois ont démontré que si la loi leur autorisait cette pratique, il la mettrait probablement en oeuvre. Je vous rappelle que pour M. Renard, nous sommes des gens "nuisibles". La loi vous a permis pour le moment de piétiner l'avis des habitants, profitez de votre victoire, car - mais loin de moi l'idée de me confondre avec Cassandre - quelques fables de M. de la Fontaine me viennent à l'esprit quant à l'avenir et je m'en vais vous les réserver pour plus tard.
    FD

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  8. Michel, solution pour publier votre discours, donnée sur le "off".
    Si j'accepte les bavards de talent, je n'ai pas envie que les raseurs envahissent ces colonnes.

    A vous de jouer et au plaisir de vous lire.
    CD

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  9. Premier épisode : dévoilement et rappel des faits.

    Bonsoir,

    Michel Coruble ; j’habite Bihorel et je suis très heureux de pouvoir enfin m’adresser à vous sans avoir à hurler ou à brandir des calicots vindicatifs. Je fais en effet partie de ceux que vous désignez de manière erronée comme étant le « groupe obscur des opposants à la fusion » et je vous remercie de l’occasion que vous m’offrez ici de vous expliquer, en pleine lumière donc, comment vous êtes parvenus à transformer de paisibles et bien inoffensifs retraités en agitateurs compulsifs, en braillards vociférants, en ombres furtives se faufilant nuitamment le long des panneaux d’affichage armés de pinceaux et de pots de colle ou encore en improbables fous chantants, parce que tout citoyen a le devoir de dénoncer ce que je considère comme étant une atteinte intolérable au principe démocratique, principe qui, faut-il vous le rappeler, fonde tout l’équilibre de notre société en nous préservant des risques du retour à la barbarie.

    La question n’est plus en effet de discuter de l’intérêt ou non d’une annexion de Bihorel par Bois-Guillaume ou, pour le dire dans votre langue de bois, de créer une commune nouvelle ; c’est chose faite, et tout le monde ou presque a dorénavant bien compris que derrière vos belles incantations à réunir nos forces et nos potentialités, c’était avant tout une manière pour vous, Mr Renard, d’éviter d’avoir à satisfaire à l’obligation légale de construire des logements sociaux en accordant, en échange, votre soutien à l’investiture de Pascal Houbron pour les prochaines législatives. Les choses sont d’ailleurs clairement et même cyniquement dites dans un récent Paris Normandie ; sous le titre éloquent « Des tractations entre maires », on apprend en effet de Pascal Houbron qu’il attend de Gilbert Renard, « son soutien dit-il si je brigue d’autres mandats électoraux » et la déclaration s’achève sur une menace à peine voilée car précise notre nouveau maire délégué « je n’exclus pas non plus l’éventualité de conduire notre liste aux élections municipales de 2014 ». Au moins, vous voilà prévenu Mr Renard, si vous n’aidez pas suffisamment votre petit camarade à rejoindre l’Assemblée nationale, il n’hésitera pas à se poser en rival pour la conquête de votre fauteuil de Maire en 2014…

    Alors, même si vos prochaines dissensions internes devraient me ravir, pour autant, ma hargne demeure et ma colère ne s’éteint pas. La constance avec laquelle vous avez méprisé la population ne passe pas. Tout au long de ce processus de fusion, vous n’avez cessé, tous deux, avec la complicité grégaire et prudemment silencieuse de vos deux majorités, de bafouer le principe démocratique : en avançant masqués lors de la campagne des municipales, en reniant vos engagements sur le référendum, en organisant cette pitoyable parodie de débat alors que la décision était déjà prise de longue date, en piétinant les résultats de la consultation et, bouquet final, en éliminant quatre opposants démocratiquement élus jusqu’en 2014. Trop, c’est trop. Aucun démocrate ne saurait accepter l’incroyable légèreté avec laquelle tout ce processus de fusion a été opéré.

    Comment comprendre une telle irresponsabilité de votre part quand, plus que jamais, la défiance des français à l’égard de leurs élus a atteint un niveau dangereusement critique ? Comment comprendre que vous ayez pu oser faire voler en éclat l’ultime maillon de confiance existant encore entre les habitants d’une commune et leurs élus de proximité ?

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  10. Deuxième et dernier épisode : plongée hasardeuse à la recherche de la conception démocratique de nos élus et constat de désolation.


    Je vous le dis très sincèrement : vous m’avez profondément déçu et même complètement sidéré. A tel point que j’ai voulu me replonger dans vos déclarations écrites et même revisionner vos interventions à la télévision, histoire de tenter de saisir le sens de votre conception de la démocratie, de chercher une cohérence dans votre raisonnement. Et, autant le dire aux âmes sensibles, cette plongée dans votre logique démocratique est tout à fait vertigineuse. Je ne prendrai ici qu’un exemple. Il porte sur l’analyse que vous faites, l’un comme l’autre, du résultat de la consultation. Il faut vous entendre Mr Renard, devant la caméra de FR3, nous expliquer avec une modestie admirable : « c’est ma lecture… » dites-vous humblement…, il faut vous entendre nous expliquer que ceux des électeurs qui s’étaient abstenus de voter l’avaient fait parce qu’ils estimaient que cette décision de fusion relevait du seul choix de leurs élus ; en quelque sorte, c’était leur manière de vous exprimer leur totale confiance. Quant à vous Pascal Houbron, pour ne pas être en reste, vous avez fait exactement cette même réponse ahurissante dans les colonnes de la presse écrite.

    Laissez-moi vous dire en quoi ce raisonnement est choquant, totalement intolérable dans un système démocratique. En démocratie, même lorsque la légalité est pleinement respectée, personne, jamais, n’a raison contre 66% ou même simplement 60% des votes exprimés et ce, quel que soit le niveau de l’abstention. En démocratie, le dicton « qui ne dit mot consent » ne s’applique pas ou alors si il s’applique, il veut dire « qui ne dit mot, consent à s’en remettre au choix fait par la majorité de ceux qui se sont exprimés par leur vote ». En démocratie, la seule règle qui vaille est celle-ci : « la volonté de celui qui garde le silence est impénétrable ». Voilà ce qu’est le droit en démocratie : « la volonté de celui qui garde le silence est impénétrable ». C’est cette règle d’or qui s’applique sous toutes les latitudes où la démocratie existe. Et bien, Mrs Houbron et Renard, quant à eux n’ont peur de rien, ils sont tout puissants et même extralucides : ils ont pénétré l’impénétrable et ils font parler les muets, en leur faveur bien entendu. C’est fabuleux !

    C’est fabuleux oui, mais c’est aussi une très inquiétante remise en cause de l’universalité du principe démocratique : et si demain tout ceux qui détiennent le pouvoir peuvent ainsi prendre leurs désirs pour des réalités en donnant libre cours à leur interprétation des résultats d’un vote au point de les inverser alors, demain « tout devient possible » comme dit l’autre et par exemple, justement, imaginons un instant qu’au second tour des présidentielles, le président en place n’obtienne qu’un score de 40%, qu’est-ce qui l’empêcherait alors de décréter que, par leur silence, les 20 ou 30% d’abstentionnistes lui ont tout naturellement manifesté leur confiance et qu’en conséquence il est totalement légitime qu’il reste au pouvoir pour encore 5 ans ??? On parlerait alors à juste titre de « République bananière » ; mais qu’a-t-on fait d’autre ici à Bois-Guillaume, qu’a-t-on fait d’autre ici à Bihorel ?

    La démocratie est ou n’est pas. Elle ne s’interprète pas. Elle n’est pas à géométrie variable, elle n’est ni souple ni modulable. Et c’est en cela que les discours de Mrs Houbron et Renard qui relativisent le principe démocratique sont inacceptables et même véritablement dangereux pour notre société. Et c’est en cela qu’il est du devoir de tout citoyen d’employer toute son énergie à les combattre pour qu’à l’avenir, ceux qui ont ainsi outragé la démocratie en trahissant la confiance de leur population ne puissent jamais plus en espérer les suffrages.

    Vous comprendrez dès lors que je n’ai aucune question à vous poser parce que je n’attends plus aucune réponse de votre part.

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  11. Voilà un discours que j’applaudis des deux mains. Il reste maintenant à J.P.Ferrès de venir nous expliquer ce qu'il y a d'inique et de mensonger dans les propos de Michel Coruble.

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    1. Raymond la Science21 janvier 2012 à 17:13

      JP Caliméro Ferrès peut-il nous expliquer ce qu'il a trouvé d'inique dans cette déclaration ?

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  12. Raymond la Science25 janvier 2012 à 23:22

    Lu dans le Bulletin de cette semaine au sujet de la persistance du site web de la mairie de Bihorel :
    ...
    "Un problème" admet G. Renard.
    ...
    Une refonte totale est donc à réaliser au cours du premier trimestre a priori.
    ...

    Si une chose pouvait être anticipée, c'est bien celle-là.

    Incapables, Bons à rien, Jean-foutre !!!
    L'incompétence notoire de l'ex-majorité de Bihorel aurait-elle dèjà déteint sur la nouvelle équipe ?

    Raymond

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  13. L'analyse spécieuse faite par nos maires des résultats de la consultation fait désormais école : dans un entrefilet du 28/12/2011 du Canard enchaîné on pouvait lire ceci :
    "Au fin fond de la forêt des Landes girondines, Bernard Lacoste, premier édile à Saint Magne (1000 habitants), a organisé un référendum auprès de ses administrés pour savoir s'ils approuvaient son projet de déménager la mairie "sur l'airial de la Pipette (sic)"... Résultats : 140 "non" ; 119 "oui" ; 421 électeurs se sont abstenus, soit 61,5 % des inscrits. Voici l'étonnante analyse qui est faite du scrutin dans le dernier bulletin municipal, "Le Saint Magnais" : "Un électeur sur cinq est opposé au déplacement de la Mairie, quatre électeurs n'y sont pas opposés puisqu'ils ont voté pour ou n'ont pas manifesté leur opposition." Ne pas voter "non", à Saint Magne, c'est voté "oui".
    Conclusion : "Le maire propose au conseil municipal de se prononcer favorablement" pour le déménagement. Lequel a été adopté fissa ! Non mais !".
    Je ne sais pas vous, mais moi, ça me rappelle furieusement une manière de faire cette démarche. La maladie se gagne. Ne lâchons rien.

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  14. Référendum en CROATIE sur l'adhésion à l'Union Européenne.
    Résultat: avec 66% de OUI pour une participation de 44% la Croatie sera membre de l'UE.
    Les ancêtres des Oustachi, qui ne semblent pas avoir essayé de récupérer les abstentionnistes, sont donc plus démocrates que le Freluquet et ses berniques.
    JP FERRES, au lieu de se lamenter sur Saint Pascal martyrisé par les barbares, devrait en prendre de la graine.
    A propos des vilénies et autres propos nauséabonds, dont serait selon lui victime le Freluquet, qu'il médite sur le proverbe presque chinois suivant:
    "Qui sème la merde la récolte".
    Francis Lagneau

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  15. Raymond la Science29 janvier 2012 à 09:43

    Autre proverbe chinois qui se vérifie très souvent et qui, je l'espère, s'appliquera au freluquet prochainement.

    "Qui fait caca sur son chemin marche dedans quand il revient"

    Raymond

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