"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

samedi 14 novembre 2015

Vae victis



Ce matin, les doigts frémissent toujours d’effroi en tapant sur le clavier. On ne sait encore combien de jeunes, d'adultes, français ou étrangers sont tombés sous les balles des islamistes cette nuit dans les rues de Paris. Combien d'âmes nous ont quittés ? Combien de vies de parents, d'amis sont à jamais broyées ? Combien d'existences à jamais recouvertes par le voile noir d'une blessure physique et/ou psychologique ? Dès les premières minutes, on pense aussitôt à ceux que l'on connait, ces jeunes  vivant, étudiant, travaillant sur Paris. Sont-ils sains et saufs ? On pense à leurs parents, nos amis. Et les autres ? Tous les autres ?

Voici quelques mois, en décembre 2014, rappelez-vous mes chers Compatriotes, le pouvoir et ses maîtres censeurs nous parlaient de "déséquilibrés" pour qualifier les islamistes qui fonçaient avec leurs voitures dans la foule (marché de Strasbourg). Puis nous eûmes droit à des "actes isolés" de "loups solitaires" (Charlie, l'hyper casher, la décapitation de Lyon, etc..). Cette nuit, les loups ont chassé en meute. Alors une question: allons nous attendre agenouillés dans des combinaisons oranges, le cou tendu, prêts à la décollation que les hordes de loups islamistes sortent des caves et descendent des escaliers des territoires perdus de la république ?

En janvier, quelques heures après les attentats de Charlie, je parlais dans ces colonnes de sidération. Aujourd'hui tel n'est pas le cas. Depuis le début de l'année, ce gouvernement de "grands causeux, petits faiseux" avait eu la baraka (Villejuif, le Sacré-cœur, Collioure, Toulon) mais nous le savions tous, nous le sentions tous qu'un jour proche, un attentat de grande envergure se déroulerait sur notre territoire même si hélas, je pense que le pire est toujours devant nous et que les attentats de cette nuit ne sont que l'avant garde d’événements à venir dont l'ampleur sera encore plus terrifiante.

La république, la démocratie et ceux qui la dirigent sont incapables aujourd'hui après des décennies de lâcheté, d'aveuglement et de démissions d'assurer la sécurité de la France et des Français. Comment peut-on imaginer qu'un régime et un gouvernement impuissant à faire rouvrir une autoroute coupée par des racailles (A1/aout 2015), d'empêcher la mise à sac d'un village (Moirans), de rétablir la libre circulation des trains interrompue pendant quinze jours (Castres) par le même type de racailles, soit de taille à mener une guerre sur notre territoire contre une cinquième colonne ?  Nous ne sauverons pas notre peau, notre culture, notre civilisation avec d’insipides discours sur le "vivre ensemble". Le temps des effets de menton de ceux qui postillonnent "valeurs de la république" à longueur de discours est dépassé. Ils ont laissé s'installer, ou pire encore, revenir en France les assassins qui sont parmi nous après les avoir couvés par idéologie.

Les frontières doivent être fermées de manière hermétique, l'armée doit avoir pouvoir de police (comme à Alger en 1956, avec le succès que l'on sait !) afin de pouvoir visiter chaque cave, chaque cage d'escalier, chaque appartement suspect. Chaque individu, soupçonné de près ou de loin de fricoter avec l'islamisme doit être immédiatement expulsé du territoire national s'il s'agit d'un étranger, quant à ceux à qui les angélistes bêlants continueraient à accorder la nationalité française, il doivent être relégués loin de la métropole sur des îles des terres australes et antarctiques ou bien à Cayenne où les ruines d'un bagne en mauvais état ne demandent qu'à être restaurées !
Cela ne suffira pas, il serait illusoire de penser le contraire. Les années à venir seront des temps cruels mais il faut, s'il n'est pas déjà trop tard, créer les conditions de la Reconquista.

Déjà le 8 janvier dernier, je publiais sur ce blog dans un billet l'appel que Mgr Amel Shimoun Nona, archevêque de Mossoul adressait aux occidentaux en aôut 2014 :

« Notre souffrance est un prélude à ce que vous-mêmes, chrétiens européens et occidentaux, souffrirez dans un futur proche. S’il-vous-plaît, il faut que vous compreniez. Vos principes libéraux et démocratiques n’ont aucune valeur ici. Vous devez reconsidérer la réalité du Moyen-Orient, car vous accueillez un nombre croissant de musulmans. Vous aussi, vous êtes en danger. Il vous faut prendre des décisions courageuses et dures, y compris en allant à l’encontre de vos principes. Vous croyez que tous les êtres humains sont égaux, mais ce n’est pas une chose certaine. L’Islam ne dit pas que tous les êtres humains sont égaux. Vos valeurs ne sont pas leurs valeurs. Si vous ne comprenez pas cela rapidement, vous tomberez victimes d’un ennemi que vous aurez accueilli dans votre maison. ».

Que cet appel, mes chers Compatriotes, puisse cette fois-ci ouvrir vos yeux et vos oreilles. Oui, les assassins sont parmi nous et leurs complices avec.
CD 



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