"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

mardi 19 juillet 2016

JE SUIS (à compléter)



Mes chers Compatriotes, au rythme où vont les choses, je ne sais pas en commençant ce billet, ce qu'il faudra écrire sur l'ardoise lorsque j'aurai fini de le rédiger : "Nice", "Allemagne ", "Hautes Alpes" ou bien encore le nom d'un autre endroit où une "chance pour la France" aura frappé le temps que j'écrive ces quelques lignes ?
On a même failli écrire hier au soir "Jullouville", située dans la Manche, où un "déséquilibré", un "déprimé", voire les deux d'après les autorités, a crié sur la plage "Allahu Akbar, je vais tous vous tuer". Mais attention, il est beaucoup trop tôt pour tirer des conclusions, l'enquête établira etc...et surtout "pas d'amalgame". Vous connaissez le refrain que l'on nous sérine depuis 18 mois.

Les pros de l'hommage post-mortem Hollande/Valls/Cazeneuve nous proposent ad nauseam, les mêmes recettes; prolongation de l'état d'urgence, opération sentinelle, frappes contre l'état islamique etc...Recettes qui ont montré leur inefficacité si on ne leur adjoint pas quelques mesures plus musclées.
La France est une barque qui sombre sous la marée islamiste, mais ceux qui nous dirigent ne proposent que des bouées, des bottes en caoutchouc, des maillots de bain alors qu'il faudrait fermer le robinet et mettre en route la pompe qui refoulerait l'eau déjà au fond...

Valls, hier, s'est indigné des huées qui l'ont accueilli à Nice. Personnellement ce que je trouve indigne, c'est que ce gouvernement qui a 250 morts à son compteur suite aux attentats islamistes en 18 mois, n'ait pas encore démissionné.

Le même Valls récemment, nous délivrait comme message d'espoir et de combat "il va falloir que les Français s'habituent à vivre avec le terrorisme". 
Imagine-t-on le Général de Gaulle lors de son appel de juin 1940 déclarer "il va falloir que les Français s'habituent à l'occupation et à la barbarie nazie" ? 

Poser la question, c'est y répondre. Le Général, lui n'avait pas le pantalon sur les chaussures...

CD




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