"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

lundi 23 avril 2018

Un de moins et un de plus !


 C'est à l'angle des rues Alfred Bizet et Victor Hugo à Bihorel que vous découvrirez, mes chers Compatriotes, l'endroit où les promoteurs bétonneurs ont jeté, une fois encore, leur dévolu, poursuivant ainsi l’œuvre destructrice du maire Houbron qui lorsqu'il ne laisse pas à l'abandon piscine municipale et église paroissiale, signe à tour de bras des permis de démolir.
Il s'agit cette fois d'un jardin de 1029 m2 et d'une belle maison en briques et pierres de meulière datant vraisemblablement de la première moitié du 20ème siècle qui vont disparaitre pour laisser la place à un collectif sans âme de onze logements.

Ainsi, le vieux Bihorel va-t-il, sous l'action du petit marquis, perdre encore un peu plus de son âme avec la destruction d'un beau jardin et d'une belle demeure. En quinze ans, un tiers des oiseaux ont disparu en France (source CNRS). Des olibrius comme Houbron en bétonnant à tout va, en sont les responsables.
 Défiguration du cadre de vie des Bihorellais, destruction massive des espaces verts et jardins de Bihorel, à l'heure du bilan qui approche, il faudra aussi faire celui de l'impact  de la politique d'urbanisation menée par le maire ces dernières années sur la biodiversité dans notre commune.
 CD


Ici, bientôt un immeuble. Dernier printemps, rue Victor Hugo, pour la flore et la faune. Merci Monsieur le maire







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